Cher E. Jean : Mon mari a eu une liaison avec un de mes collègues. Elle a un appétit notoire pour les hommes mariés, et j'ai fait l'erreur de l'inviter à dîner. Pour faire court : elle s'en est pris à mon mari et il a succombé. Ils ont cessé leur liaison maintenant, et lui et moi travaillons sur notre relation. Mais pendant trois mois j'ai dû travailler avec cette femme qui couchait avec mon mari. C'était atroce et humiliant parce que la plupart de mes collègues étaient au courant de l'affaire. (En fait, la plupart d'entre eux le savaient avant moi.) La femme a maintenant été transférée. Mais je me retrouve amer et en colère contre mes collègues qui étaient amis avec elle. Est-ce normal que je ne souhaite pas être ami avec quelqu'un qui a soutenu cette femme ? —Ils ne comprennent pas l'impact
Mademoiselle ne, ma colombe : Je comprends que vous soyez blessé, mais vos collègues sont trop fascinés par leur posséder relations extraconjugales et trop occupés à se battre les uns contre les autres pour ne même pas se souvenir de la femme, alors ne Obliger en agissant « amer et en colère ». Quant à être amis avec les transfuges ? Vous n'êtes pas obligé de tresser leurs cheveux dans la salle de bain, mais vous devez être cordial et professionnel.
Et un mot sur « travailler » sur votre « relation » avec votre mari. Non! Non! Pas de « travail », s'il vous plaît ! La seule raison de être marié, c'est profiter l'un de l'autre. Le plaisir mettra votre amour sur pied plus vite que tout le travail du monde.
Cette lettre provient des archives Ask E. Jean, 1993-2017. Envoyez vos questions à E. Jean à E.Jean@AskEJean.com .